Qui es-tu ? Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Jules, je viens d’avoir 29 ans, bientôt la trentaine. De base, je suis originaire de Versailles, j’ai grandi en région parisienne. J’ai fait pas mal de villes, j’ai fait mes études à Nantes, à Angers, j’ai habité en Écosse. Je suis arrivé à Marseille il y a à peu près 7-8 ou 9 ans.
Je suis arrivé ici, j’ai commencé à bosser au Delta Festival, en tant que directeur administratif. J’ai ensuite bossé au festival Le Bon Air, toujours en tant que responsable administratif et billetterie. En parallèle, de ces jobs en temps pleins, dans les festivals de culture marseillaise, j’ai commencé à développer un projet qui s’appelle De la Techno à Marseille qui est aujourd’hui mon projet professionnel principal.
Je suis pas mal encré dans la culture marseillaise et plus précisément, les musiques électroniques avec mon média, De la Techno à Marseille qui aujourd’hui s’appelle DTM, @dtm.mars sur Instagram. C’est vraiment le média digital qui va communiquer sur les événements de musiques électroniques, plus à connotation alternatives ou underground dans la région marseillaise.
J’ai commencé à parler du projet, mais la question, c’était plus, qui je suis moi. En sois-je travail beaucoup, donc mon projet me définit pas mal, mais sinon à côté de mon taf, je suis passionné de musique électronique, je suis DJ aussi. Donc je mix, là, je me remets pas mal à mixer, je me remets à produire du son. J’adore le sport, je cours, je fais de la longboard, je fais du skate, j’adore les sports nautiques, j’adore aller à la plage le samedi etc.
Peux-tu nous présenter ton parcours et ton métier ?
Alors mon parcours, je l’ai dit, mais mon métier aujourd’hui, je suis créateur de contenu. C’est-à-dire que j’ai commencé à être créateur de contenu via un média que j’ai créé, où je crée du contenu plus à dimension journalistique, où je fais des micros articles que je publie sur Instagram, sur les événements de musique électronique et petit à petit cette activité de média sur la scène électronique locale je suis en train de la faire basculer sur une dimension nationale.
Je me suis créé un profil de créateur de contenu qui s’appelle @positivenergy. Profil avec lequel aujourd’hui, je bosse avec des festivals, des artistes et des orgas dans la France entière, voir même à l’international. Là, j’étais sur un festival à Bruxelles pour le nouvel an.
En fait, mon métier, c’est soit de créer du contenu où moi, je vais me mettre en avant, donc des faces cam, où je parle à la caméra, où je vends un événement, mais aussi de la création de contenu où je ne suis pas devant la caméra, mais derrière. Typiquement, je fais pas mal de micro-trottoir pour des festivals, donc je vais en événement, j’interviewe les gens et aussi de la création de contenu où je fais juste du montage vidéo. Je crée des vidéos promotionnels en suivant les trends Insta, TikTok, etc…
Bien évidemment, le métier de créateur de contenu au-delà de toute la partie création audiovisuelle, que tout le monde connaît, il y a toute cette partie, gestion d’entreprise. Donc je fais aussi de la compta, je fais du management quand j’ai des gens qui bossent avec moi, je fais du juridique, voilà toute cette partie de gestion courante d’une entreprise.
Quels sont tes projets pour cette année ?
Très, très bonne question, là pour l’instant, moi mon objectif de 2025, c’est de relancer mon projet artistique. Parce que comme je l’ai dit, j’étais DJ, avant de faire tout ce projet entrepreneurial et c’est un projet que j’ai beaucoup mis de côté pour mettre toute mon énergie sur la création de contenu et pouvoir en vivre. Chose à laquelle j’arrive aujourd’hui.
Donc là le but, c’est d’essayer, tout en continuant de faire mes projets de création de contenu, me remettre, relancer mon projet artistique, mixer et surtout composer, et produire de la musique parce que c’est ça qui me passionne le plus. Ça, c’est pour la partie personnelle, après au niveau pro, ça va être aussi de développer le profil positivenergy pour travailler avec encore plus des grosses orgas et encore plus dans toute la France et pourquoi pas en Europe aussi.
Comment as-tu connu Le Tripostal ? Qu’est-ce qui t’as le plus séduit au Tripostal ?
J’ai tapé « coworking Marseille » sur Google, comme tout le monde. Du coup, je m’étais pas mal renseigné sur tout les coworks et c’est vrai qu’en venant au Tripostal, je me suis tout de suite senti, on va dire à ma place dans cet univers artistique et créatif. Vu que de base, c’est un coworking qui est géré par une boite de production audiovisuelle de cinéma, donc moi venant de la musique, tout de suite, j’ai adoré, le lieu où on est un peu dans des immenses plateaux, des immenses espaces, il y a de la place.
J’ai reçu un accueil très chaleureux de la part de Marlène et Charlène et même de toute la team Sunsetcam. Et là ce qui est cool, ce qui me fait rester aujourd’hui, c’est que j’ai fait pas mal de rencontre ici, en plus de ça billard, baby-foot, c’est toujours cool d’avoir ça à dispo. Donc ouais, coworking très très satisfaisant.
Peux-tu nous livrer une anecdote ou bien un souvenir sur ton arrivée, ton installation ?
Ça va plus être un conseil, si vous venez au coworking, préparez-vous à jouer fort au baby-foot ou au billard. Parce que généralement le midi, ça s’envoie vénère et faut choisir son camp, soit t’es baby-foot, soit t’es billard. Moi au baby-foot, je me suis fait exploser par les gars de dronecast donc j’ai basculé sur le billard.
Qu’est-ce que tu aimes dans l’esprit coworking ?
L’esprit coworking, ça va être, déjà ces open spaces où même quand tu bosses seul ou à pas beaucoup, c’est toujours cool d’avoir de la vie autour de toi. Bon parfois, on vient te déranger quand tu travailles, mais ça fait partie du jeu.
Ce qui est cool, c’est cet aspect open space, ça crée une vie professionnelle en dehors de ta propre activité, tu manges pas seul ou à deux, tu rencontres des gens et voir même, tu crées des projets inter coworking. Par exemple c’est ce qu’on a fait avec Tim et avec la team de Blacksun, Lou et Flo. On a organisé l’interview d’un artiste pour ma chaîne YouTube, au Tripostal et c’était trop cool de faire ce genre de projet parce que on a investi le Tripostal, loué du matos à SunsetCam, Lou et Flo, ont monté tout le setup avec Tim qui les a dirigé, moi, j’ai fait l’interview. Ce genre de projet n’aurait pas pu être possible sans le fait qu’on soit ici au coworking.
Comment définirais-tu la communauté des coworkers en un mot ?
Ici au Tripostal ? Je dirais les Triposters !