Interview de notre coworker réalisateur Pierre Scholl
Qui êtes-vous ? Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Passionné de voyage et d’image, je suis aussi fasciné par notre planète, la nature et ses manifestations, notamment les plus spectaculaires : séismes, volcanisme, inondations, etc.
Ingénieur géologue et hydrologue de formation, j’ai débuté par des études techniques pour l’état et les collectivités. Parallèlement je m’absentais pour de longues missions à l’international, avec la Croix-Rouge entre autres. Amérique Latine et Caraïbe principalement, Afrique et Océani sporadiquement.
Mon loisir principal c’était la photographie, que je pratiquais en tant qu’amateur averti, me menant à quelques expositions photos sur les volcans de la cordillère des Andes. Il y a 10 ans, ce loisir est devenu ma profession.
Pouvez-vous nous présenter votre métier ?
En indépendant depuis 10 ans, d’abord photographe, puis vidéaste, je me suis intéressé à
toutes les techniques de l’image : l’animation, la prise de vue par drone, les effets spéciaux, la réalité virtuelle, etc. Mon cœur de métier c’est de réaliser des outils de communication et de sensibilisation sur les risques naturels. Mais je ne perds pas de vue la photographie d’art et les missions dans l’humanitaire.
Quels sont vos projets de cette année 2024 ?
Je développe actuellement des expériences de réalité virtuelle permettant de visualiser des inondations créées par effets spéciaux cinématographiques. Cela permet au public et aux décideurs de se rendre compte de la violence de ces évènements, et de les prendre en compte dans l’aménagement du territoire par exemple. Une série de 10 clips sur la prévention des inondations est également en cours de finalisation. A coté de cela, nous travaillons avec deux collègues indépendantes : Ysabeau Rycx et Yoanna Najjar, à l’amélioration de la coordination des Croix-Rouge dans l’océan indien lors des réponses aux catastrophes naturelles. J’espère trouver encore de nouvelles idées passionnantes à développer.
Comment avez-vous connu Le Tripostal ?
Suite au cambriolage que j’ai subi dans un autre espace de coworking, il me fallait dans l’urgence louer un appareil photo et 3 objectifs. J’ai rendu visite à la Prod Du Sud et j’ai découvert les charmants locaux, la bonne ambiance. Le tout à deux pas de chez moi. Je m’y suis installé la semaine suivante et je suis maintenant le deuxième plus ancien coworker !
Qu’est-ce qui vous a le plus séduit au Tripostal ?
La décoration, la proximité avec ma maison, c’est la raison initiale de mon installation au Tripostal, mais je me suis vite rendu compte des bénéfices à partager mes locaux avec des professionnels de l’image. On s’entraide, on se donne des marchés, on se prête du matériel, etc. C’est très motivant. L’ambiance aussi est extraordinaire, avec des espaces et des moments de repos et de convivialité, des repas, des apéros, etc.
Etes vous plutôt Baby-foot, billard, ou canap ?
Plutôt Baby !
Passionné de voyage et d’image, je suis aussi fasciné par notre planète, la nature et ses manifestations, notamment les plus spectaculaires : séismes, volcanisme, inondations, etc.
Ingénieur géologue et hydrologue de formation, j’ai débuté par des études techniques pour l’état et les collectivités. Parallèlement je m’absentais pour de longues missions à l’international, avec la Croix-Rouge entre autres. Amérique Latine et Caraïbe principalement, Afrique et Océani sporadiquement.
Mon loisir principal c’était la photographie, que je pratiquais en tant qu’amateur averti, me menant à quelques expositions photos sur les volcans de la cordillère des Andes. Il y a 10 ans, ce loisir est devenu ma profession.
Pouvez-vous nous présenter votre métier ?
En indépendant depuis 10 ans, d’abord photographe, puis vidéaste, je me suis intéressé à
toutes les techniques de l’image : l’animation, la prise de vue par drone, les effets spéciaux, la réalité virtuelle, etc. Mon cœur de métier c’est de réaliser des outils de communication et de sensibilisation sur les risques naturels. Mais je ne perds pas de vue la photographie d’art et les missions dans l’humanitaire.
Quels sont vos projets de cette année 2024 ?
Je développe actuellement des expériences de réalité virtuelle permettant de visualiser des inondations créées par effets spéciaux cinématographiques. Cela permet au public et aux décideurs de se rendre compte de la violence de ces évènements, et de les prendre en compte dans l’aménagement du territoire par exemple. Une série de 10 clips sur la prévention des inondations est également en cours de finalisation. A coté de cela, nous travaillons avec deux collègues indépendantes : Ysabeau Rycx et Yoanna Najjar, à l’amélioration de la coordination des Croix-Rouge dans l’océan indien lors des réponses aux catastrophes naturelles. J’espère trouver encore de nouvelles idées passionnantes à développer.
Comment avez-vous connu Le Tripostal ?
Suite au cambriolage que j’ai subi dans un autre espace de coworking, il me fallait dans l’urgence louer un appareil photo et 3 objectifs. J’ai rendu visite à la Prod Du Sud et j’ai découvert les charmants locaux, la bonne ambiance. Le tout à deux pas de chez moi. Je m’y suis installé la semaine suivante et je suis maintenant le deuxième plus ancien coworker !
Qu’est-ce qui vous a le plus séduit au Tripostal ?
La décoration, la proximité avec ma maison, c’est la raison initiale de mon installation au Tripostal, mais je me suis vite rendu compte des bénéfices à partager mes locaux avec des professionnels de l’image. On s’entraide, on se donne des marchés, on se prête du matériel, etc. C’est très motivant. L’ambiance aussi est extraordinaire, avec des espaces et des moments de repos et de convivialité, des repas, des apéros, etc.
Etes vous plutôt Baby-foot, billard, ou canap ?
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